Attention, question qui gratte : Es-tu un converti ou un disciple ? 😅 Parce que, soyons honnêtes, les deux ne vivent pas la même aventure. Le converti croit, le disciple suit. Le converti dit “Seigneur”, le disciple dit “Me voici”. Et si tu penses que c’est pareil, cet article risque de te décoiffer (spirituellement parlant).
Accroche-toi : cette question peut changer ta vie. Es-tu un converti ou un disciple ? Oui, ça paraît anodin, mais la différence, c’est la distance entre “je crois en Jésus” et “je marche avec Jésus”. Le converti parle de foi. Le disciple vit par la foi. Le converti regarde le Royaume. Le disciple le fait avancer. Et crois-moi, Dieu n’a jamais appelé des spectateurs. Il recrute des participants.
1. Converti vs. Disciple : deux statuts, deux destins
Le converti : il a cru, mais il s’est arrêté là
Le converti, c’est celui qui a levé la main pendant un culte ou cliqué sur “Amen 🙌” dans les commentaires YouTube. Et c’est déjà beau ! Mais après ? Rien. Il croit, il prie un peu, il chante fort le dimanche, mais lundi, il retourne vivre comme si Jésus était resté dans le temple. Il aime Jésus, mais à petite dose façon infusion spirituelle, pas feu de camp. ☕🔥 Il connaît le nom du Roi, mais il n’a jamais signé pour la bataille.
Et tu sais quoi ? C’est souvent là que beaucoup s’arrêtent. Pourtant, Jésus n’a jamais dit : “Faites des convertis.” Il a dit : “Faites des disciples.”
Le disciple : il suit, il apprend, il brûle
Le disciple, c’est celui qui a compris que le salut n’est pas la ligne d’arrivée, mais le point de départ. Il a une mission, pas juste une position. Il ne dit pas : “Je vais à l’église”, il dit : “Je suis l’église.” Il apprend, il obéit, il sert, il tombe parfois… mais il ne lâche jamais. Le converti dit : “Seigneur, bénis-moi.” Le disciple dit : “Seigneur, envoie-moi.”
2. Le disciple : un cœur brûlant, pas juste des mains levées
Oui, Marc 16:17-18 parle de signes puissants: chasser les démons, parler en langues, guérir les malades. Mais attention : ces signes ne sont pas le test du disciple, ils en sont le fruit. Le véritable signe d’un disciple, ce n’est pas combien de miracles il a vus, mais combien de fois il a aimé quand c’était difficile, obéi quand c’était coûteux, persévéré quand c’était sec.
1 Corinthiens 12 nous rappelle : tous n’ont pas les mêmes dons. Mais Galates 5 nous dit : tous doivent porter le même fruit. Et c’est là que Dieu regarde : pas sur ton CV spirituel, mais sur ton arbre intérieur. 🍇
a. La puissance : parce que Dieu agit encore
Le disciple croit que le surnaturel n’a pas pris sa retraite. Il sait que le Saint-Esprit ne dort pas. Oui, les miracles, les guérisons, les délivrances… tout ça existe encore. Mais le disciple sait aussi que la plus grande puissance, c’est celle qui change le cœur. Chasser un démon, c’est bien. Chasser ton orgueil, c’est mieux. 😉
b. Le caractère : le vrai signe du ciel
Le converti veut impressionner. Le disciple veut ressembler. Le monde n’a pas besoin de plus de prédicateurs éloquents, il a besoin de disciples patients, fidèles, joyeux, remplis de paix. Le fruit de l’Esprit, c’est la carte d’identité du disciple : amour, joie, paix, patience, bonté, fidélité, douceur, maîtrise de soi. Le reste, c’est du décor sans racine.
3. L’amour : la marque de fabrique du disciple
Jésus n’a pas dit : “C’est à leurs miracles que vous les reconnaîtrez.” Il a dit : “C’est à l’amour que vous aurez les uns pour les autres.” (Jean 13:35) L’amour, c’est le feu qui alimente le reste. Le converti aime quand tout va bien. Le disciple aime même quand c’est injuste. Il aime ses ennemis, il pardonne, il bénit, il persiste. Et c’est là que Dieu se révèle — pas seulement dans la puissance, mais dans la compassion.
4. Obéissance, service et feu intérieur : le quotidien du disciple
Le disciple n’est pas celui qui “fait des choses pour Dieu”. Il est celui qui marche avec Dieu. Il a compris que la vraie maturité spirituelle, ce n’est pas d’accumuler les connaissances, mais d’appliquer ce qu’on sait déjà. Le converti écoute. Le disciple obéit. Et c’est là que le feu prend.
a. Renoncer à soi-même : le grand “oui” quotidien
Luc 9:23 : “Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge chaque jour de sa croix, et qu’il me suive.” Le disciple, c’est celui qui ne se demande pas “qu’est-ce que j’ai à y gagner ?”, mais “qu’est-ce que Dieu veut y faire ?”. Il ne cherche plus à tout comprendre — il choisit de faire confiance. Et dans ce “oui” répété chaque jour, le ciel s’ouvre sur sa vie.
b. Servir : la puissance du bas du tablier
Quand Jésus a lavé les pieds de ses disciples, il a inversé la hiérarchie. Le disciple a compris que le vrai ministère se fait souvent sans micro, sans photo, sans hashtag. C’est dans les petits gestes que la grandeur du Royaume se cache : un sourire, une prière, une main tendue. Le disciple vit pour aimer, pas pour impressionner.
c. Grandir : parce que la tiédeur, c’est pas une option
Le converti reste dans la zone de confort. Le disciple vit dans la zone de croissance. Et oui, parfois ça pique, parfois ça brûle — mais c’est le feu qui affine l’or. Jésus n’a jamais dit : “Reste comme tu es.” Il a dit : “Suis-moi.” Et suivre, ça bouge.
5. Le fruit avant les dons, la fidélité avant la notoriété
Dans Matthieu 7:16, Jésus dit : “C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.” Pas à leur ministère, pas à leur look, pas à leur profil Insta — à leurs fruits. Dieu se fiche de combien de versets tu cites si ton cœur reste fermé. Ce qu’il veut, c’est une vie qui rayonne de sa présence.
Le converti veut les promesses de Dieu. Le disciple veut la présence de Dieu. Et la présence amène tout le reste.
Conclusion : Dieu n’a pas besoin de fans, il cherche des flammes 🔥
Le converti croit que Jésus a tout fait. Le disciple comprend que Jésus a tout commencé. Le converti se contente du salut. Le disciple veut la transformation. Le converti parle du feu. Le disciple le porte.
Et non, Dieu ne t’a pas sauvé pour te laisser tiède. Il t’a choisi pour être sel, lumière, flamme, ambassadeur, reflet. Le monde n’a pas besoin de chrétiens plus cools. Il a besoin de disciples plus vrais. Ceux qui tombent mais se relèvent. Ceux qui aiment même quand ça coûte. Ceux qui prient quand c’est sec. Ceux qui brillent sans chercher à briller.
Alors, converti ou disciple ? Ce n’est pas une question de titre, mais de transformation. Et la bonne nouvelle, c’est que si tu lis encore ces lignes, c’est que le Saint-Esprit te recrute. 😉 Il ne cherche pas des parfaits, juste des disponibles.
Bonus : 5 pas concrets pour passer du mode “converti” au mode “disciple”
- 1. Redonne ton oui à Jésus : pas juste une fois, mais chaque jour.
- 2. Obéis vite : même quand c’est flou, avance. Dieu éclaire les pas, pas les kilomètres.
- 3. Sers quelqu’un : le Royaume avance quand tu t’oublies un peu.
- 4. Laisse le Saint-Esprit te façonner : les dons sont beaux, mais le fruit est éternel.
- 5. Cherche la présence avant la puissance : quand Dieu est avec toi, tout le reste suit.
FAQ : converti ou disciple ?
1. Peut-on être sauvé sans être disciple ?
Oui, mais c’est comme acheter un billet pour le concert et ne jamais y aller. Tu as le ticket, mais tu manques la musique. 😅
2. Est-ce que les miracles sont encore pour aujourd’hui ?
Oui ! Mais rappelle-toi : les miracles ne prouvent pas ta foi, ils prouvent sa bonté. Le plus grand miracle, c’est un cœur transformé.
3. Comment savoir si je suis disciple ?
Simple : regarde ton amour, ton obéissance et ton fruit. Si ces trois grandissent, t’es sur la bonne voie. Le reste, Dieu s’en charge.
4. Et si je me sens loin du niveau “disciple” ?
Bonne nouvelle : Jésus ne t’appelle pas à être parfait, mais à le suivre. Chaque pas compte. Même les petits.
5. Et si j’ai perdu le feu ?
Reviens à la source. Le feu ne vient pas de ton effort, mais de sa présence. Il suffit d’un “oui” sincère pour que tout recommence à brûler. 🔥
Et souviens-toi : le monde n’a pas besoin de chrétiens plus bruyants. Il a besoin de disciples qui brûlent d’amour et de vérité. 🔥💛
